Voici ci-dessous les paroles des diverses chansons de la karioska. Pour plus de facilité, cliquez sur les liens pour vous rendre directement au paragraphe désiré.











Eux ce sont les paroliers (en restant sur l'image vous pourrez voir la liste des chansons qu'ils ont écrites)

Elsa, parolière, a écrit :
	La Télé, Où est la vie, Touki, Utopie
David, parolier, a écrit : 
	1000 Oiseaux, Fanfare, Hymne à la bière, Où est la vie, Pas, Rêves, Voyage
Camille, parolière, a écrit :
	Maharadja







Fanfare (David)
(Compositeurs : Jonas & David ; Arrangements : Karioska)

C'est cette histoire habituelle
D'un petit garçon noyé de larmes
Qui vient juste de quitter cette ruelle
Avec dans ses mains pour seule arme

Un unique petit accordéon
Qui aura pour éternelle fuite
Les quelques notes de cette suite
Dans la pénombre au dessous du néon

Que les badauds n'écouteront
Que quelques soirs désoeuvrés
Ce petit air qu'ils fredonneront
A leurs moments oubliés.

Hymne à la bière (David)
(Compositeur : Jonas ; Arrangements : Karioska)

Elle m'observe du coin de l'oeil
m'aguiche et me fait un clin d'oeil.
J'ai par dessus tout envie d'elle,
qui y a t'il de mal à un peu de zelle.

Juste poser mes lèvres
contre les siennes pour me donner la fièvre.
Je veux caresser ses formes
même si son liquide n'est pas aux normes.

Alors je m'approche d'un regard fier
je vais enfin pouvoir la boire...... ma bière !

Il est des nôtres
Il a bu sa bière comme les autres
c'est un ivrogne
ça se reconnaît rien qu'à sa trogne.

Refrain...


La raison (Stéphane & Charly)
(Compositeur : Jonas ; Arrangements : Karioska)

Belle Karioska, tu amènes la joie,
Tous ensemble, musiciens de demain, jouons,
Traversons les chemins, qui nous amènerons,
Aux portes du bonheur, pour sublimer le moi.

Laissons cours, composons de belles mélodies,
Des rythmes infernaux, des rythmes infinis,
Du coucher du soleil jusqu'au petit matin,
Les instruments sont là, Ô les beaux musiciens.

Dansez, bougez, sautez, nous vous entraînerons
Dans un monde de fou, et de sons merveilleux,
Où s'allume la flamme qui pétille dans vos yeux.

Pleurez, frissonnez, et vibrez sur nos chansons,
Puis le temps d'un accord, donnons-nous tous la main.
Suivez-nous, portez-nous, nous vous le rendrons bien.

La télé (Elsa)
(Compositeur : Jonas ; Arrangements : Karioska)

Dépendant de cet objet malsain
Tu l'allumes dès le matin
Et contribues au gagne pain
D'une sacrée bande de crétins.

Pollution sonore
Sur m6 ça fait des records
Candy, Gérald ou Sabrina
Qui sera la daubestar de ton choix ?

Même pas besoin d'sortir d'chez toi
Y'a aussi le téléachat, d'la publicité à chialer,
D'la consommation comprimée.
Avales bien ça
Et n'en laisses surtout pas dans l'plat.
L'excès tu vois c'est tellement bon
Quand ça génère des frustrations.

Consommes achètes et téléphones,
L'Amérique se vautre sur son trône
Pendant que tu t'rues pour voter
A grand succès
Pour un blaireau cocaïné

Du voyeurisme au quotidien
De cul même pour vendre du pain
Vraiment plus rien ne débecte
Assommé à grands coups de concepts

Des jeux malsains, d'la jalousie
Et plein d'entrain ; d'l'hypocrisie
Avancent, s'étalent et fond leur nid
Bien au creux, au fond de ton esprit

L'idéalisme de toutes les stars
Attention mets bien ton bavoir
Rêves de cette gloire illusoire
Et stagnes à la case de départ

Sans aucun respect,
Le corps d'la femme est un objet,
Le sexe une vulgarité
La place de la femme est dénigrée

Même l'info est une illusion
Un marché de domination
Est contre la moindre évolution
T'es victime de manipulations

Saches en toute conscience
Que par cet excès d'ignorance
Ce goût pour la médiocrité
Tu fais de ta personne un objet

C'est comme ça qu'un jour
Au mois de mai
Au mois d'amour
Par des chiffres apocalyptiques
La France est totalement amnésique.

Dépendant de cet objet malsain
Tu l'allumes dès le matin
Et contribues au gagne pain
D'une sacrée bande de crétins.

Pollution sonore
Sur m6 ça fait des records
Candy, Gérald ou Sabrina
Qui sera la daubestar de ton choix ?

Mille Oiseaux de papier (David)
(Compositeurs : Jonas, Sébastien, David et Arthur ; Arrangements : Karioska)

Mille oiseaux de papier
dans mes poches, j'ai retrouvé
tous mes rêves de gamins
tous ces rêves sans lendemain
qui petit à petit
amènent mon sourire mais me reprennent la vie.

L'homme sans sa bêtise
souffrirait malheureux
et c'est sans matière grise
qu'il deviendra heureux
sans alléger ses peines
Malice coule dans ses veines

Mille oiseaux de papier
dans mille et une poubelles
Mille oiseaux de papier
j'ai beau hurler de plus belle
rien n'y fera
quand il a choisi que tu restes en bas
tu auras beau tout tenter
on n'a pas le choix, on reste à ses pieds.


Quand on est tout petit
qu'on s'accroche à la vie
on oublie facilement
que seul en un instant
tout peu vite basculer
sans qu'on puisse se rattraper du bon pied

Il n'est pas question
de comprendre
c'est juste sans solution
qu'on se laisse prendre
à ce jeu de hasard
que l'on nomme si bien la vie

Je ne cesse pas de pleurer
dans mes draps
Je ne cesse de pleurer
dans ses bras
celle qui n'est jamais là
sauf quand elle a besoin de moi

C'est au bord du gouffre
que mes mots s'y engouffrent
dans cette petite boîte dorée
q'j'ai appelée ma liberté
elle qui n'a jamais rien compris
à mes semblants de plaisirs dans la vie

Refrain

Maharadja (Camille)
(Compositeur : Jonas ; Arrangements : Karioska)

C'est son cri que je m'approprie,
Les mots elle les a trouvés pour moi,
Chaque instant son tourment m'envahit,
Un son de basse qui tremble en moi.

Sans cesse le son parcourt mes veines,
Je suis accro, j'aime quand elle m'enchaîne,
J'ai besoin de ses rimes,
Ce sont elles qui m'animent.

Ce soir elle continue à me poursuivre,
Sans trève, je chante, elle m'inspire,
Ce n'est pas un rêve je frémis,
Sa voix, en moi, un son, un cri.


Partout elle me suit,
Je suis seule, elle surgit,
Et chacun de mes pas sont guidés, par sa voix.

Je me fais reine de ton combat,
La panique du bout de tes doigts,
Qui s'entremêlent sur le clavier
Comme pour toucher mon corps blessé.

Refrain.

Où est la vie (David & Elsa)
(Compositeur : Jonas ; Arrangements : Karioska)

Où est la vie le destin
et tout ce qui s'en suit.
Marchant auprès de mon ombre
auprès de l'ombre de chacun,
je subis sans encombre,
je ne veux plus penser à demain.

Fierté dignité, apparence
Tous ces mots ne sont que des leurres,
des vices pas d'espérances
Lorsque j'écoute bien mon coeur
Tous ces mots partent à la poubelle
Dans les pourritures profondes
Du plus dégueulasse destin.
N'attends plus jamais rien de moi
mon moi c'est plus tout à fait ça (BIS)
Amour qu'est-ce que ça signifie
Si c'est pour me gâcher la vie,
Pour me gâcher la vie.
Anesthésiée, par la souffrance paradoxe
mon corps en transe
près à bondir à chaque instant
Ma passion est mouvement
je ne suis plus prête à t'écouter
ni même à te regarder faire
Toutes tes belles phrases sont effacées,
tu ne sauras que me déplaire
Toi, solitude pesante,
toi, plaisir chimérique
Je ne veux même plus t'entendre
L'amour n'est pas ma-thématique,
ma-thématique.
REFRAIN
Passe ta tête de l'autre côté
je te laisse juste entrevoir
un petit bout de ce qui est passé.
On aurait du mal à y croire,
mais il est dit que la vie
passe sans que le moindre répit
ne puisse se laisser glisser
dans les méandres de mon âme
consumée qui à peine repliée
hurle d'une voix déchirante
cette inexorable gamme.

Tu te rends maintenant compte
que la seule laissée-pour-compte
c'est ta solitude défaitiste
qui sans le moindre jeu de piste
laisse place à cette joie forcée
qui petit à petit n'est plus obligée
de la souffrance tu passes à l'espérance
de l'espérance tu accèdes à cette chance
que seules quelques personnes ont acceptée
tout simplement en se laissant porter.

Joie, entrain, espérance
Voilà ce que je laisse paraître
Et pourtant seule la décadence
suffirait à me faire renaître.
Lorsque chacun tourne le dos
vers un tout autre destin idiot
Je me sépare de mon masque,
de ma marionnette futile
et contemple ma grosse balafre.
Je voudrais être juvénile,
pourquoi devrais-je grandir si vite j'aimerais encore être une enfant
Etre encore petite, toute petite, et me faire porter par le vent, par le vent.
REFRAIN
Si tu n'as pas peur de moi
approches toi plus près de cette voie
et laisses toi guider
par ces paroles oubliées
par ces paroles endiablées
je ne veux plus parler de cet espoir
allusion à ce semblant de gloire
qui nous prend librement dans ses bras
et nous amène aux chemins de la joie.

Il est sûr que plus rien ne s'oppose
à ce moment de l'inébranlable prose
.....du musicien.

Pas (David)
(Compositeur : Jonas ; Arrangements : Karioska)

Perdu ce matin-là
Je me suis retrouvé là-bas
J'ai eu peur de ne pas te reconnaître
J'ai eu peur de ne pas renaître
J'ai eu peur que tu n'voies pas
Ce chemin tracé pour toi.

Je pensais être oubliée
Je pensais être reniée
Je n'avais pas compris
Ces doux mots glissés dans mon lit
Que tu susurais tout bas
Pour que je n'les entende pas

Cette histoire d'amour, redite et entendue
Nous ennuie quand on l'écoute, mais on a rien perdu.
Evidemment dans ces semblants d'histoires
On se rend bien compte que c'est plus la peine d'y croire.

Je me suis ouvert les veines
Pour y enfoncer ma peine
Pour que tu ne t'aperçoives pas
Des saloperies que j'ai dites sur toi
Que maintenant je rejette
Et tout simplement, je regrette.

Non vraiment, ne pleures pas
Rassures toi je ne t'en veux pas
L'amour, sûrement, m'a aveuglée
L'amour, certainement, m'a fait perdre pied
Je me serais pendue pour toi
Je t'aurais donné ma vie, moi.

REFRAIN
Maintenant qu'on nous écoute
Ca c'est sûr, y a plus de doute
La musique n'est plus une poubelle
Où l'on jette ses paroles
Arrêtez monsieur, ça devient indécent
De débiter des textes aussi chiants.

REFRAIN (x2)

Rêves (David)
(Compositeurs : Jonas & David ; Arrangements : Karioska)

Je ferme les yeux,
Quand tout devient noir,
Mon esprit nerveux,
S'endort sans espoir.

J'ouvre les yeux,
Mais qu'est ce que je vois,
Assis à côté de moi,
De son sourire radieux.

Dieu sans garde,
Elle me regarde,
De ses yeux verts,
Le coeur grand ouvert.

Je glisse... le long du banc...
Je pose... ma main sur son flanc... la la lay la la la

Elle attrape mes mains,
Me serre contre ses seins,
Approche son visage,
Et de ses deux lèvres fait rage.

Mes yeux se ferment,
Et tout redevient noir,
Pour mettre un terme,
A notre petite histoire.

Elle n'est plus là,
Il ne pleure pas,
Mais il est seul

Mon esprit plein d'ivresse sourit de ma détresse !

C'est dormir toute sa vie,
Que de croire à ses rêves,
Et l'on court toutes les nuits,
A attendre que l'on crève.
Bercé des illusions,
Parcourant nos chemins,
Noyant l'imagination,
De rêves sans lendemain.

J'arpente les rues,
Les mains au fond des poches,
Le regard perdu,
Et les lèvres en croche.

Soudain surgit la belle,
Au détour d'une ruelle.
Le coeur tétanisé,
Le visage crispé,

Je baisse la tête,
Mon esprit à tue-tête,
Profite du moment présent,
Pour se faire les dents.

Il glisse... le long du banc...
Il pose... sa main sur mon flanc... la la lay la la la

Je ne fais plus attention,
Je préfère vivre de mes illusions.

Ses yeux se ferment, quand tout redevient noir, pour mettre un terme à notre petite histoire.

Il n'est plus là,
Je ne pleure pas,
Mais je suis seule...

Mon esprit plein d'ivresse sourit de ma détresse !

REFRAIN

Touki (Elsa)
(Compositeur : Jonas ; Arrangements : Karioska)

Tout va, tout qui s'en va
tout qui nous file entre les doigts
Tout va, tout qui s'en va
toutes ces filles entre les bras
pour une danse
pour un éclat
et puis s'en va.
Tout va, tout qui s'en va
de l'amour mais plus de papa
un instant d'innocence à croire qu'il ne s'en va pas
Que reste t-il alors (BIS)
du superflu, d'l'amour qui ne vaut pas
tout va, pourquoi tu t'en vas
toi pourquoi, tu t'en vas
plus rien ne va.
Que reste t-il alors (BIS)

Des mots, des notes, d'la musique, OUAH !
On est là parce que sans ça
Y'a tout qui s'en va.
Alors, la musique nous prend dans ses bras,
Elle s'imprègne de nos larmes
En fait une mélodie, de la joie
Rien que de la joie, parce que sans ça
Y a plus rien qui va
Y'a Touki s'en va.
C'est pour ça qu'on est là,
qu'on s'serre fort les bras
qu'on gueule sur les toits
Qu'y a que de la joie, qu'la musique est là,
et puis que sans ça, y a tout, y a tout qui s'en va.
Alors des mots... des notes... de la musique,
et puis quoi...

Laisse-moi dans ses bras.
La musique pleure avec moi.
Laisse-moi dans ses bras.
Sinon y a tout, ya tout qui s'en va.
Y a tout qui va pas, papa,
y'a tout qui s'en va.
Avec la Karioska,
y'a que de la joie.
On gueule sur tous les toits,
qu'y a rien qui s'en va,
qu'on est là pour toi
qu'on est là pour toi papa...

Utopie (Elsa)
(Compositeur : Jonas ; Arrangements : Karioska)

Es-tu sûr,
     que je dois y croire,
     à tes phrases bien tournées,
     tes décisions grand D.
Ne crois-tu pas qu'on peut y arriver comme ça,
     juste en s'regardant vivre
     en chantant qu'on est là(a)...
Ne vois-tu pas que c'est seulement par l'expression
     l'imagination que j'crache
     ce qui fuse en moi.
Ce qui me prend comme ça, qui m'fait partir là-bas(a)
     dans un monde où tu n';y es pas,
     dans un monde...

Dans un monde sans guérilla, sans vice et tout le tralala
Allez pars avec moi, dans un monde où tout va,
     Dans un monde
     Où les putains n'ont pas l'sida
Où des pantins dansent la roumba.
Peut être que là-bas, (x3)
     la fée clochette nous attend,
     avec sa baguette en argent.
Peut-être que là-bas (x3),
     les pierres ont un coeur,
     les gens ont un honneur,
     et toi plus de peur (BIS),
     les pierres ont un coeur.

Es-tu sûr que j'ai droit d'y croire
     à tes phrases bien tournées,
     tes décisions grand D.
Ne crois-tu pas qu'j'peux y arriver comme ça
     juste en tournant le dos
     sans te dire bravo.

Voyage (David)
(Compositeur : Jonas ; Arrangements : Karioska)

Les bagages aux pieds
Je décide de partir
Enfin m'éloigner
Ne plus réfléchir
Pour tout oublier
Et tout reconstruire
Regarder devant
Et suivre le vent


J'aimerais partir
Ne plus m'poser d'questions
Monter dans l'navire
Regarder l'horizon
Je me dis qu'il faut fuir
Ce monde à la con
Parcourir le temps
Et poursuivre son élan


Courir nu à travers champs
Bouffer la vie à pleines dents
Trébucher, tomber me relever
Sans jamais m'épuiser
Hurler fort que je suis libre
Ou tout simplement ivre
Sourire, avoir l'air bête
Faire le vide dans ma tête


Voyager et ne plus jamais poser les pieds
M'envoler pour pouvoir enfin respirer
Vivre loin de tout, avec toi, tout seul j'm'en fou
Pas question de passer toute ma vie au fond d'un trou


Je monte dans le train
Et tout redevient incertain
Je n'vois rien dans mes deux mains
Je n'y vois pas de lendemain


Mais il n'y a plus de doute
Suffit d'ouvrir grand les yeux
Emprunter la bonne route
Et savoir ce que l'on veut


Refrain